
They Are Billions | Milliards martiaux
Jadis, les jeux Flash m'obsédaient beaucoup trop. Dans ma chambre d'adolescent, je passais mes nuits sur des tower defense dessinés sous Paint ou des jeux de stratégie simplistes. C'était le paradis, même si je rêvais de connaître un jour une version plus ambitieuse de ces titres, avec des graphismes soignés et une profondeur vertigineuse. Bien sûr, quand on grandit, on se rend souvent compte que nos fantasmes sont nuls. Par exemple, jusqu'à ses 28 ans, Kahn Lusth mourait d'envie de conduire un scooter VespaNote : 1. Moi, je me suis accroché à mon rêve. Aujourd'hui, They Are Billions m'a prouvé que j'avais eu raison, toutes ces années, d'attendre un tower defense extraordinaire.
Note 1 : Probablement le modèle 150 TAP, sur lequel l'Armée française avait monté un canon antichar. Non, non, je ne déconne pas, il existe vraiment.
They Are Billions
Jeu: They Are BillionsGenre: jeu de gestion et défense
Developpeur: Numantian Games (Espagne)
Editeur: Numantian Games
Plateformes dispo: PC Windows
Plateforme test: PC Windows
Langues: anglais, français
Config: PC de joueur
Telechargement: 4 Go
Prix: 25 €
Drm: Steam
Date de sortie: 18062019
Recevoir cet article gratuitement
0 personne a chouiné pour avoir accès à cet article
Voir le classementInscrivez-vous pour chouiner et réclamer l’accès à cet article
Article premium réservé aux abonnés
Faites-vous offrir des articles par vos amis abonnés ! Pas d'amis ? Chouinez auprès des abonnés pour obtenir gratuitement accès aux articles !
Pas de compte ?
S'inscrire gratuitementVous pouvez y accéder avec l'abonnement suivant :
Accédez au contenu premium, offrez des articles à vos amis, votez pour rendre gratuits certains articles et plein d'autres choses.

Canard PC
Jeu Vidéo
Déjà abonné ?
Se connecterRecevoir cet article gratuitement
0 utilisateur a voté pour rendre cet article gratuit
Voir le classementConnectez-vous pour pouvoir voter pour cet article
Plus d'articles

Oath - Le loup hurle, mais le cerf ment
Cela faisait quelques années maintenant que j’avais pris le pouvoir. Démocratiquement, bien sûr. Quelques années pendant lesquelles j’avais su habilement écarter tous ceux qui auraient pu se dresser sur mon chemin, et venir contester ma toute-puissance. Quelques années que la population, après l’incrédulité et la colère, avait cédé à la résignation. Quelques années que la paix, ma paix, était devenue la norme. Ce royaume était mien, et il le resterait, quoi qu’il en coûte.

Donjons & Dragons : L’Honneur des voleurs
Il paraît que dans la fantasy, le lore, c'est important. En bon français, ça signifie que votre histoire n'est pas très intéressante si vous n'avez pas pris le temps de construire un univers logique, élaboré, avec des antagonistes complexes, une géographie cohérente et une longue histoire millénaire.
Plus de la même catégorie

Decarnation - Le plus grand cabaret immonde
J’ai tendance à me méfier des jeux qui revendiquent des influences trop prestigieuses, au risque de ne jamais vraiment sortir de leur ombre. Decarnation a tout de suite cherché à me prendre par les sentiments en convoquant pêle-mêle la filmographie de David Lynch, Perfect Blue et Silent Hill, comme si quelqu’un avait sondé mon cerveau pour en extirper certaines de mes œuvres préférées avant de me hurler « AIME-MOI !!! » à la figure.

The Legend of Zelda : Tears of the Kingdom - Le voyage extraordinaire
L’histoire de Tears of the Kingdom commence quelque temps après celle de Breath of the Wild, alors que Zelda disparaît lors d'une expédition dans les sous-sols du château d’Hyrule. Je pourrais vous raconter en détail l’intrigue principale de TOTK, mais la vraie histoire qui compte, c’est celle du joueur : la mienne implique des fusées qui s’écrasent lamentablement au sol, des PNJ malmenés et des combats qui se soldent par des échecs cuisants, et c’est l’une des plus belles aventures qu’il m’ait été donné de vivre.