
X4 Foundations | Il faut aussi refaire les murs, la plomberie et l'électricité
Deux décennies déjà qu'à intervalles réguliers, les Allemands d'Egosoft sortent un nouveau X. Deux décennies que les fans (ils sont nombreux) peuplent et repeuplent cet univers de stations spatiales, de flottes de vaisseaux de commerce, se pâmant d'extase en engrangeant les profits virtuels. Deux décennies aussi qu'on se plaint des bugs, de la réalisation bâclée et de l'interface catastrophique. Il y a des choses qui semblent destinées à ne jamais changer.
X4 Foundations
Jeu: X4 FoundationsGenre: bac à sable spatial
Developpeur: Egosoft (Allemagne)
Editeur: Egosoft
Plateformes dispo: PC Windows
Plateforme test: PC Windows
Config: gros PC de joueur
Telechargement: 10 Go
Date de sortie: 30/11/2018
Langues: voix en anglais, texte en français
Prix: 50 €
Drm: Steam ou aucun sur Gog
Recevoir cet article gratuitement
0 personne a chouiné pour avoir accès à cet article
Voir le classementInscrivez-vous pour chouiner et réclamer l’accès à cet article
Article premium réservé aux abonnés
Faites-vous offrir des articles par vos amis abonnés ! Pas d'amis ? Chouinez auprès des abonnés pour obtenir gratuitement accès aux articles !
Pas de compte ?
S'inscrire gratuitementVous pouvez y accéder avec l'abonnement suivant :
Accédez au contenu premium, offrez des articles à vos amis, votez pour rendre gratuits certains articles et plein d'autres choses.

Canard PC
Jeu Vidéo
Déjà abonné ?
Se connecterRecevoir cet article gratuitement
0 utilisateur a voté pour rendre cet article gratuit
Voir le classementConnectez-vous pour pouvoir voter pour cet article
Plus d'articles

Psycho Goreman
« Oh ça va, aucun risque, j'en ai vu des films bizarres. » Non. Vous n'avez jamais vu un film comme Psycho Goreman. Un film complètement pété, dont même Lloyd Kaufman et Troma n'auraient pas rêvé. L'histoire d'une petite fille psychopathe et de son frère qui, en jouant dans le jardin de leurs parents, tombent sur le sarcophage d'un guerrier extraterrestre aussi puissant que maléfique et qui va devoir se plier aux ordres de la gamine qui détient l'orbe magique à laquelle il est assujetti. Ce scénario complètement bidon n'est que prétexte à des gags absurdes et à une débauche de monstres d'une laideur telle qu'elle a dû pousser le budget « latex/carton » à des hauteurs jamais vues depuis les meilleurs épisodes de Bioman. Le pire, après avoir fini de regarder Goreman, est qu'on ne peut s'empêcher de penser que ce machin inidentifiable était plus réjouissant et original qu'une bonne partie de la production cinématographique traditionnelle. Et qu'on devrait laisser aux spécialistes des effets spéciaux, comme Steven Kostanski dont c'est le premier long-métrage, le soin de s'occuper plus souvent des scripts et de la réalisation.
Plus de la même catégorie

Hardspace : Shipbreaker - Poubelle la vie
Lorsque Disco Elysium est sorti, j’avais hâte que d’autres genres de jeux vidéo connaissent un tel coup de tonnerre. Que tout à coup, une nouveauté tellement au-dessus du lot vienne chambouler toutes les attentes des joueurs et les plans des développeurs ; qu’il devienne impossible de continuer comme avant et de… ouh là ! Vous avez entendu ? Je crois que c’était le tonnerre. Ça venait du côté des simulateurs de travail.

Hellslave - Goétie c'était vrai…
On sent que Hellslave est un jeu développé par des Français. Là où le protagoniste d'un dungeon crawler américain, face aux hordes démoniaques qui assujettissent son pays, aurait brandi son arme et chargé dans le tas au risque de prendre un mauvais coup, le héros de Hellslave a foncé rejoindre la secte des adorateurs de Satan. Pour « utiliser leurs pouvoirs contre eux », paraît-il. Ouais ouais, Pétain, le glaive et le bouclier, on connaît la chanson.