2965 résultats pour "test bref"

Precognition - Un petit verre devin ?

En entrant chez Irma, j’étais plein d’espoir. C’était une sommité. Imaginez, elle avait tout de même prédit la chute du mur de Berlin (dès 1995 !), ou encore le Trumpisme, avec son célèbre « Il viendra, l’homme jaune et fou ». J’étais plein d’espoir… et de questions.

Twilight Struggle 2022 - URSS mal léché

Il était écrit que ce numéro serait celui où je râlerais comme un Italien découvrant une pizza à l’ananas dans son assiette. Dis patron, c’était trop demander que d’avoir un peu plus qu’une seule page pour parler du meilleur wargame de tous les temps ? Comment veux-tu que j’explique à nos lecteurs bien-aimés pourquoi ils doivent craquer séance tenante ? Non ? Pas même une demi-page de plus ? Tssss, tu t’ivanises de plus en plus, mon pauvre Kahn…

Dune Imperium – L’Avènement d’Ix - Que change le Ix-factor ?

Les extensions, ça revient souvent à faire détresse, parce que ça pose des tas de questions. Pour commencer, comment ne pas titrer un texte sur l’add-on de Dune : « Et de deux » ? D’un autre côté, est-ce que ce n’est pas 300 % éculé ? Pour continuer : c’est quoi, une bonne extension ? Faut-il qu’elle change le jeu, qu’elle y permette de nouvelles manières de gagner, ou qu’elle le prolonge ? Et le fameux : c’était quoi ce point de règles déjà ?

NOC - Who’s there ?

J’en avais d’autres, des jeux de mots, je me serais fait le plaisir de citer Jules Romain, malheureusement le bouquin le précise très vite : avec pas mal de références d’Europe de l’Est, ça se prononce « Nots ». Mais je ne vais pas me laisser démonter pour si peu, car ce jeu rétrofuturiste ne se fonde pas que sur la nots-algie.

Les Dents de la mer - “On va avoir besoin d’un plus gros plateau”

On n’en voudrait à personne de se méfier de l’adaptation en jeu de plateau d’un film comme Les Dents de la mer. Après tout, les adaptations foireuses, ce n’est pas ce qui manque et bientôt cinquante ans après la sortie du film, personne n’en avait exprimé le besoin. Pourtant, des myriades d’adaptations qui souillent les fonds marins, Les Dents de la mer flotte fièrement à la surface.

The Crew : Mission Sous-Marine - Pas le jeu de voitures, l’autre

En 2019 sortait The Crew, un super jeu de pli coopératif où un équipage essayait de réussir des missions successives sans communiquer. C’était brillant et ça tombe bien, puisque Iello nous apporte une suite.

Crimebook : Week-end fatal - Livre, il tue sa patronne

Ah, lire un polar au soleil, cocktail à la main et pieds dans le sable ! Bon, pour cause de retards d’impression, nous n’avons eu le livre-jeu qu’en PDF. Je reformule : Ah, lire un polar sur tablette sous la grisaille, tisane à la main et pieds dans la litière du chat ! Rien de mieux.

It’s a Wonderful Kingdom - Winston cherche île

Je déteste me tromper. Ça froisse l’ego et ça laisse un goût désagréable dans la bouche. Et je dois bien vous l’avouer, en décryptant les règles, j’ai eu peur d’avoir fait une grosse erreur de casting. La question qui me taraudait était : « Pourquoi ils n’en ont pas fait une simple extension pour Wonderful World ? Ça y ressemble quand même vachement… » Et puis j’ai joué. Et puis j’ai compris. Et puis je me suis senti soulagé.

Akropolis - Welcome to Rupture

Ça va vous surprendre, mais j’aime bien les jeux de plateau. Ça me détend, ça me vide la tête. Loin des petits tracas de la vie quotidienne, l’esprit baguenaude et s’apaise. Tout guilleret, on s’étonne à penser à des broutilles sans conséquences, du genre : C’est quoi, « avoir une âme » ?

Summoner Wars (seconde édition) - Last Faction Hero

Je ne joue plus à Magic, plus depuis vingt ans. Trop de cartes, trop d’investissement, trop cher. Plus le temps ou la patience, je ne sais pas. Summoner Wars n’a pas grand-chose à voir avec Magic. Sauf qu’il arrive à me procurer la même émotion, qu’il me transporte pendant une heure de permanence au lycée, quand tout était plus simple.

Arkham Noir : Affaire #3 Gouffres Insondables de Ténèbres - R’lyeh les indices

Ce jeu est une réussite. Attention, pas au sens « il est réussi », mais c’est une réussite. Il se trouve qu’en plus, c’est assez réussi. C’est rare pour une réussite. Vous suivez ?

Brian Boru - Celtes à la maison

Brian Boru est un roi irlandais légendaire, la figure de l’unificateur, du héros, celui qui a rassemblé le pays, à grands coups de hache la plupart du temps. Inutile de vous plonger dans les livres d’Histoire pour vérifier son statut : ce gars a des bières et une chanson d’Alan Stivell à son nom.

Riftforce Beyond - L’important, c’est la famille

Je n’aime pas les promesses, elles sont faites pour décevoir. Par contre j’aime bien les surprises, et Riftforce en avait été une. Sa première extension arrive avec son lot de promesses. La surprise, c’est que ce ne sont pas elles qui font que ça vaut le coup.

Pessoa - Pierre, feuille, schizo

Le poète portugais Pessoa n’était pas dingue, il avait juste des pseudonymes. D’accord, un peu plus que ça, des hétéronymes, des pseudonymes avec leur propre personnalité. Mais il n’était pas dingue. Parfois, il recevait un journaliste sous l’une de ses multiples identités, en s’excusant lui-même de ne pas être là. Bon, d’accord, Pessoa était dingue.

Suspects : Claire Harper, éternelle enquêtrice - La Dernière Tentation du Christie

Wimereux, près de Calais, un samedi soir. Un entrepôt est allumé. Malgré la pluie et l’heure tardive, une armée de mains s’affaire, s’affole et colle des étiquettes. Le ballet est millimétré. Pas de temps à perdre, douze mille boîtes attendent. Synchronisé comme le reste, un mantra sort de toutes les bouches : « Mais quel énorme connard ce Perco ! »

First Empires - Expansion de famille

Plus qu’un jeu accessible, First Empires semble l’antithèse du jeu pour habitués exigeants. Il faut y jouer « mal », vite, ne pas trop réfléchir, ne pas tenir une stratégie immuable. Pourtant, rien n’est bâclé ou raté, au contraire. Simplement, c’est un choix radical de style. First Empires n’est pas « simpliste », il est « anti-experts chiants ».

Tournoi de Camelot - L’écume des joutes

Les jeux de plis, ce n’est pas trop mon truc. J’ai des souvenirs émus de parties de cartes en famille, sous le auvent de la caravane des vacances, en attendant que l’orage passe, mais ça s’arrête là. Alors, en découvrant Tournoi de Camelot à la rédaction, un jeu que nous n’avions même pas demandé, j’ai tiqué. J’avais tellement tort.

L'Insondable - The Love (craft) Boat

La croisière a dérapé. Vous essayez de rejoindre Boston au plus vite, à bord du SS Atlantica, pour échapper aux Profonds et aux Grands Anciens qui assaillent le navire. Tous ensemble, vous combattez, réparez, faites des choix pour survivre. Tous ? Non, pas tous.

Happy City - Va bétonner plus loin, tu seras bien urbain

Bon, j’ai une page entière toute à moi pour vous parler de Happy City, la ville où tout le monde il est beau et gentil. Une page, c’est long, surtout pour un petit jeu. Un petit jeu diablement séduisant, malin et qui s’explique en cinq minutes, mais un petit jeu quand même. Alors le père Tisseur, il prend exemple sur Kahn dans ses « Papiers culture », il brode. C’est tout juste si je ne vais pas vous raconter mes vacances d’été en Vendée, dans un petit village absolument charmant. Ah bah tiens, en voilà une belle transition !

Under Falling Skies - Par Toutatis !

Même si je trouve le film d’une débilité profonde, certaines scènes d’Independence Day m’ont quand même marqué quand j’étais môme. Comme tout le monde, la grosse soucoupe qui fait un gros kaboum sur la Maison-Blanche m’a impressionné, et comme pas grand monde, j’ai ri aux vannes de Will Smith. Aujourd’hui, malgré mon corps d’adulte, je reste un grand gamin quand il s’agit de sauver le monde, ce qu'Under Falling Skies propose de faire de bien jolie manière.