88 résultats pour "docteur foldingue"

Chaos Gate

Trois ans après Shadow of the Horned Rat, un autre titre a particulièrement fait parler de lui : Chaos Gate. Placé à la tête d'un groupe d'Ultramarines1 le joueur devait ici retrouver une relique – qui comme de par hasard – était également recherchée par ses ennemis.

Prince of Persia : The Lost Crown - Exploration à Perse de vue

Ma dernière expérience avec la licence Prince of Persia ne date pas d’hier. La dernière fois que j’ai virevolté dans les airs, c’était avec Les Sables du Temps, en 2001, sur PS2. Autant dire une éternité. C’est donc avec un regard relativement neuf que j’ai posé mes grosses paluches sur ce nouvel épisode. Pour le meilleur, comme pour le pire. Beaucoup de meilleur et beaucoup de pire en fait.

Rare photo d’Explorateurs de Code
Les Archéologues du Virtuel - Vanilla Jones

Dans Blue Screen of Death, Alt236 explore nos représentations avec la passion d’un archéologue des mondes virtuels. Le jeu vidéo est un continent vierge où se jouent des aventures nouvelles et parfois étranges. Quels liens ces visions entretiennent-elles avec notre inconscient ? Pourquoi nous fascinent-elles autant ? Qu’est-ce qui fait qu’une image plutôt qu’une autre va luire dans la nuit de toute son inquiétante étrangeté ?

Guillaume Veer, moddeur devenu professionnel

Doom Eternal - Monomythe

« Son humanité ne fait aucun doute. Il est de sexe masculin, de groupe sanguin AB positif. En tant que scientifique, je suis dans l'incapacité de partager l'opinion de mes collègues qui pensent qu'il s'agit d'un dieu, d'un ange exterminateur venu sauver l'humanité. Mais je ne peux pas non plus ignorer le moment de sa venue, ni la nature des ennemis qu'il combat. Ni que son existence ébranle mes certitudes. » – Journal du docteur Elena Richardson, notes au sujet du Doom Slayer.

We Happy Few - Un échec stupéfiant

Dans les années 1960, la petite ville de Wellington respire la joie de vivre. Il faut dire que tous ses habitants se défoncent à la « joy », une drogue qui rend heureux en toutes circonstances. Sous son emprise, les mouches deviennent de jolis papillons, un rat mort se transforme en sympathique piñata et une rue grise semble irisée. Du coup, quand je vois l'écart entre la note d'intention et le résultat offert par We Happy Few, je ne peux pas m'empêcher de croire que les gars de chez Compulsion Games ont eux-mêmes consommé de la joy à s'en faire sauter les narines.

Gorasul : The Legacy of the Dragon (2001)
Les nanars du jeu de rôle - Une contre-histoire du RPG

Raconter l'histoire du jeu de rôle sur ordinateur, d'ordinaire, c'est faire une liste : celle des grands jeux qui ont marqué leur nom au fer rouge sur nos PC. On se contente d’égrener des titres comme Ultima, Fallout, Baldur's Gate, Morrowind, Mass Effect, Wasteland 2, The Witcher III et puis c'est rideau, merci et bien le bonsoir. Le problème, c'est que dans la légion des jeux tus par cette liste, dans la cohorte des non-dits, il y a toute une facette de l'histoire des jeux de rôle qui mérite largement d'être racontée. Se pencher sur les mauvais jeux sympathiques – les nanars – permet de dresser un portrait plutôt fidèle d'un genre qui a été façonné par les échecs, les grandes tendances suivies aveuglément, les pâles copies et le mauvais goût. Alors pour vous, on a plongé dans la fange. Des vieilleries obsolètes qui déglinguent les yeux aux camelotes modernes qui partent en vrille, on ne s'est rien épargnés. Tout ça, bien sûr, dans l'unique but d'obtenir une vision plus juste du jeu de rôle. Pas du tout de se moquer des jeux moches. Pas du tout.

Let's build a zoo - J'ai des pensées sans compter

« Vous avez créé des raptors ? », me demanda le professeur Grant avec une expression terrifiée. « Alors, non, pas vraiment, lui répondis-je. Pour l'instant, on n'a pas créé de raptors. Par contre, on a fait ça. C'est un canapin, c'est le croisement entre un canard et un lapin. Il est marrant, non ? »