Tout le monde sait ce qui s'étend à l'est de la France : une contrée froide et dangereuse, où la vie est rude et les jeux vidéo exigeants. À l'Est, on ne pond pas des FPS hollywoodiens ou des RPG bucoliques, non. À la place, on élabore des simulateurs d'infanterie pointus et des jeux d'aventure létaux, comme on fabriquerait des pièges. Or, avec Shortest Trip to Earth, des Estoniens comptent bien montrer que si les hommes de l'Ouest peuvent se contenter de la simplicité d'un FTL, les surhommes slaves ont, eux, besoin de jeux d'un autre calibre. Mais complexifier FTL le rend-il vraiment meilleur ?