Plus le temps passe, et plus je me demande comment faisait Maria Kalash pour trouver toujours des chapos fantastiques à son Cabinet de Curiosités. Au début, pour m'inspirer, je lisais ceux des anciens numéros et j'essayais, vainement, de reproduire sa plume inimitable. Hélas, je commence à avoir fait le tour et il faut remonter trop loin pour que je trouve une idée neuve. J'imagine que, maintenant, c'est moi, et seulement moi, face à ma page blanche, un peu comme les gens qui développent ces jeux. Dieu, ayez pitié de nous.