Dix-neuf ans. C'est donc le temps qu'il m'aura fallu pour voir la suite de MechWarrior 4 et me dire « oh bon dieu que c'est vilain » après huit secondes de jeu. Bien sûr, j'aurais pu attraper le titre pour le tronçonner de bas en en haut, puis me plaindre que « gnugnugnu y'a pas grand-chose de nouveau » et que « gnagnagna c'était mieux avant ». Mais nous ne mangerons pas de ce pain aujourd'hui car MechWarrior 5 est un jeu qui a une âme. Une âme qu'il est possible d'acquérir en signant un contrat en lettres de feu qui brûlent les doigts.