Quand je me suis levé au milieu de ce silence glacial qui enveloppe généralement la rédaction pour lancer un bruyant : « Bon Kahn Lusth, maintenant c’est fini : quand on reçoit un point and click, tu demandes la soluce qui va avec », je ne faisais, en réalité, que manifester mon intolérance à la frustration. Car, il faut bien le reconnaître, The Blind Prophet n’est pas difficile pour un sou. Heureusement, il a d’autres qualités.