J’aime beaucoup les hasards inutiles de la vie, ceux qui ne peuvent susciter qu’un simple « Dis donc, c’est fou ça ! » ou autres platitudes de type « Oh, on est bien peu de choses ma bonne dame » de la bouche des personnes avec qui on les partage. Ces petits hasards m’émerveillent autant qu’ils indiffèrent mes interlocuteurs, mais je ne pourrai jamais m’empêcher de les partager avec empressement. Tenez, prenez par exemple le fait que ma sœur, celle de Sébum et celle de Malware, toutes d’âges et de milieux socio-professionnels différents, s’appellent Florence. C’est complètement fou, non ?