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Lacrimosa - La flûte en chantier

« Mozart est là ! » « Mozart ? Mais on joue la Carmina Burrata ! » La blague est un peu éculée mais, j'avoue, j'ai hésité à la faire. J'ai même cherché comment enchaîner avec une paronomase entre « la crémeuse » (rapport à ladite Burrata) et Lacrimosa. C'est là que mon voisin de table, en plein Dies Irae, m'a filé un coup de coude rageur : je fixais le vide depuis cinq minutes au lieu de poser ma carte.

Christine Alcouffe - « La force de proposition est du côté de l’illustration »

Le parcours pourrait sembler classique : une mise à niveau en arts appliqués, une école de dessin, des illustrations pour l’édition jeunesse et pour le monde ludique. Mais si on consacre un portrait à Christine Alcouffe, ce n’est pas seulement pour son style artistique, c’est aussi parce qu’elle a depuis quelques années une double casquette d’autrice de jeu.

Mind Up ! - The Gap

J’aime bien Perco. Surtout au café en terrasse : il parle tellement qu’il n’y a qu’à se laisser bercer par le bruit des vagues, et il arriverait à me faire passer pour pas bavarde, par comparaison. Un chouette gars, sympa, intéressant. Enfin, je croyais.

Books of Time - Un livre, un jour

Me voilà en train de rédiger une page sur un jeu dans lequel on rédige des pages de livre, mais j’ai trop de trucs à dire dessus pour perdre de la place à faire un chapo rigolo.

Incarner des enfants et des ados - Ou comment se mettre le monde ado

On parle beaucoup d’animer des tables de jeux de rôle pour enfants et adolescents, moins de reconnaître que ces êtres humains en formation peuvent être de vrais personnages, intéressants à incarner. Tour d’horizon avec l’aide de deux auteurs de jeux : Vivien Feasson, à l’origine de l’univers de l’Averse, et Nils Hintze, qui a travaillé sur Tales from the Loop.

Les vertus du patient gaming - Pyramide de masse-slow

Contrairement au jeu vidéo, le prix des jeux de société ne descend pas naturellement avec le temps dans les boutiques spécialisées. Pour autant, il existe de nombreuses solutions permettant de pratiquer le « patient gaming », soit de faire ses achats bien moins cher pour peu qu’on veuille attendre un peu.

Jouer sans se ruiner, hors de chez soi - On sort, mais a-t-on toujours faim ?

Sortir de chez soi, il paraît que c’est bien, qu’il y a des trucs comme du soleil, de l’air frais, des gens. Mais avoir un but, c’est sans doute mieux. Du coup, telle une vieille druide à barbe blanche, je vous propose une vision panoramique des lieux de débauche ludique accessibles. Et comme je suis vraiment sympa, je vais même les trier des plus chères aux moins chères. Sympa, mais apte à garder le suspense, quand même.

Les festivals ludiques - Ne pas mettre les Vieilles charrues avant les jeux

Je t’ai vu. Oui, toi, qui viens de lever les yeux au ciel en lisant le titre. Je t’ai vu, et je t’entends râler : « On a dit fauché, pas Fauchon ! Genre j’ai les moyens de me payer des nuits d’hôtel à Cannes… »

Blades in the Dark - Pauvres cendres de conséquences

« Lames dans le noir », pour un jeu d’infiltration, cela évoque un individu qui se dissout dans l’ombre comme un fantôme insaisissable. Au contraire ici, tout, de la mécanique à la thématique, est orienté autour de la notion de conséquences.

Les descendants de Donjons et Dragons - L’important, c’est la prose

Vous l’appelez D&D, « Donj », « le seul jeu dont j’ai besoin » ou « Roh pfff, pas encore ce truc ». Vous l'adorez, vous le détestez, vous le considérez comme un jeu essentiel ou êtes passé à autre chose, mais une chose est sûre : Donjons et Dragons, vous connaissez. Du coup, on ne va pas en parler.