Considéré encore il y a peu avec beaucoup de dédain par les joueurs PC, le HDR commence à gagner en popularité sur ordinateur, grâce d'une part à des technologies telles que l'OLED et le rétroéclairage mini-LED de plus en plus présentes dans les moniteurs, d'autre part à une prise en charge par Windows et les jeux en progrès constants. On vous explique comment en profiter au mieux.
Avec la situation pour le moins compliquée que nous vivons depuis le lancement en 2020 de la génération actuelle de cartes graphiques, nombre de joueurs sont encore dans l’attente d’un retour à la normale du marché pour se lancer sereinement (et sans exploser le PEL) dans la mise à jour de leur GPU.
Histoire d'appuyer le propos de notre dossier sur la question du RGB, qui consiste à dire que l'élégance, ça peut aussi (et même surtout) se façonner sans loupiotes multicolores, notre config du trimestre est une machine assez haut de gamme qui s'adresse aussi bien au gamer avide de performances qu'à l'amateur de belles choses.
Vous vous en souvenez peut-être, nous avions déjà proposé une configuration à (très) bas prix en avril 2020. Cette config’ valait 300 € et visait vraiment un public à la recherche d’un PC pas cher. Cette fois, nous ciblons l’entrée de gamme pour les joueurs.
Dans la majorité de nos configurations, nous partons avec un point implicite : vous allez installer Windows, ou éventuellement une distribution GNU/Linux. Mais si vous voulez profiter de macOS et fabriquer un hackintosh, il y a quelques sujets importants à prendre en compte.
Pour cette configuration trimestrielle, nous avons décidé de stocker des données. Beaucoup de données. Avec une question idiote : combien de téraoctets peut-on placer dans une tour de PC classique ? Les contraintes sont basiques : rien d'externe, tout en interne, avec du matériel qui peut se trouver en France.