Il est ringard et « populaire », au sens le plus dédaigneux du terme, de regarder encore la télévision. Dans les dîners où je fréquente l'élite intellectuelle parisienne, c'est à qui pourra placer en premier le fameux « oh non, moi je n'ai même plus de télévision » avec une subtile moue de supériorité. Et pourtant, je le clame à la face du monde : j'aime encore la télévision.