Comme me le disait encore hier un ami trapéziste dans son lit de douleur du pavillon des polytraumatisés de l'hôpital Achille Zavatta, « les véritables artistes travaillent sans filet ». Si c'est le cas, alors les programmeurs des années 1980 et 90 étaient des artistes : impossible, sans Internet pour rattraper le coup, de sortir un jeu à moitié bugué en espérant le patcher ensuite. Tout devait marcher parfaitement du premier coup. Enfin, presque.