Dieu sait que je déteste la forêt, et la nature d’une manière générale. Comme tout le monde, je fais ma part : chaque dimanche, je vais brûler quelques pneus dans les bois et j’enterre des stocks de piles à proximité des rivières pour hâter le réchauffement. Ce n’est pas grand-chose, mais si tout le monde s’y met, à condition d’être unis, on peut le faire.