
Artifact | Les raisons de la colère
Durant la nuit qui a précédé l'écriture de ce test, j'ai fait un cauchemar dans lequel Gabe Newell insultait tout le monde dans les allées de l'E3. Apparemment fâchée, la foule s'est alors mise à le rouer de coups pendant qu'il continuait de débiter ses gros mots. Incapable d'accepter de le voir finir ainsi, je tentais de le calmer pour qu'il n'incite plus ses bourreaux à le frapper en essayant de lui rappeler sa gloire d'antan. « Tu étais l'élu ! C'était toi ! », disais-je en captant enfin l'attention de Gabe qui s'est alors tourné vers moi, le visage tuméfié et les yeux injectés de sang, avant de me hurler un « Je te hais ! » à vous glacer le sang. Il semblerait que ce mélange « prise de notes sur Artifact / la Revanche des Sith en fond sonore » ait provoqué quelques petites remontées dans mon subconscient.
Artifact
Jeu: ArtifactGenre: jeu de cartes à collectionner
Developpeur: Valve (États-Unis)
Editeur: Valve
Plateformes dispo: PC Windows, Mac OS X, Linux
Plateforme test: PC Windows
Config: carte graphique dédiée requise
Telechargement: 1,8 Go (oui, oui)
Langues: français
Date de sortie: 15/11/2018
Drm: Steam
Prix: 20 €
Recevoir cet article gratuitement
0 personne a chouiné pour avoir accès à cet article
Voir le classementInscrivez-vous pour chouiner et réclamer l’accès à cet article
Article premium réservé aux abonnés
Faites-vous offrir des articles par vos amis abonnés ! Pas d'amis ? Chouinez auprès des abonnés pour obtenir gratuitement accès aux articles !
Pas de compte ?
S'inscrire gratuitementVous pouvez y accéder avec l'abonnement suivant :
Accédez au contenu premium, offrez des articles à vos amis, votez pour rendre gratuits certains articles et plein d'autres choses.

Canard PC
Jeu Vidéo
Déjà abonné ?
Se connecterRecevoir cet article gratuitement
0 utilisateur a voté pour rendre cet article gratuit
Voir le classementConnectez-vous pour pouvoir voter pour cet article
Plus d'articles

Retour vers le passé - Remakes, adaptations, suites : quand les éditeurs misent sur la nostalgie des joueurs
J’avais six ans quand j’ai joué à Day of the Tentacle pour la première fois avec mon grand frère : dans ma tête, j’avais l’impression d’avoir ouvert une porte sur un monde merveilleux fait de voyages temporels, de blagues légères et de personnages burlesques. Dans les faits, mon frère a surtout passé des heures à m’expliquer la logique tarabiscotée des énigmes, et c’est pourquoi il faut quand même se méfier de ses propres souvenirs et de la nostalgie de l’enfance – d’autant plus quand des éditeurs capitalisent dessus.
Plus de la même catégorie

Warhammer 40,000 : Boltgun - Concerto pour Warp
Je n'avais jamais accroché à Warhammer 40,000. Dès que je tombais sur un ultramarine, je me disais que tant qu'à voir de gros types décérébrés qui jouent aux croisés, autant zoner dans le Vieux Lyon après 22h, au moins l'architecture est jolie. Eh bien figurez vous que, de la même façon qu'on enroule un médicament dans un bout de jambon pour le faire avaler à un chat, il suffisait, pour me faire aimer WH40K, de le cacher dans un fast-FPS.

Decarnation - Le plus grand cabaret immonde
J’ai tendance à me méfier des jeux qui revendiquent des influences trop prestigieuses, au risque de ne jamais vraiment sortir de leur ombre. Decarnation a tout de suite cherché à me prendre par les sentiments en convoquant pêle-mêle la filmographie de David Lynch, Perfect Blue et Silent Hill, comme si quelqu’un avait sondé mon cerveau pour en extirper certaines de mes œuvres préférées avant de me hurler « AIME-MOI !!! » à la figure.