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Just Cause 4
Cause, toujours
Le sens du devoir des balayeurs de Solis mérite d'être salué.
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Just Cause 4
Cause, toujours
Le sens du devoir des balayeurs de Solis mérite d'être salué.
L.F. Sébum le 7 décembre 2018

| Modifié le le 25 mai 2021

Il arrive, de temps en temps, que les jeux qu'on reçoit soient accompagnés d'un accord de confidentialité à signer. Un « non disclosure agreement » (NDA), comme on dit dans les pays où ce type de document a valeur légale. En général on les signe, par politesse et parce que les souhaits de l'éditeur sont plutôt sensés – par exemple, ne pas évoquer, dans un « à venir » sur un jeu qui sortira dans plusieurs mois, la mission où, spoiler warning, la princesse tombe amoureuse du crapaud. Tout ça pour dire que, quand Just Cause 4 est arrivé accompagné d'un petit mot nous enjoignant à ne rien révéler des deux premières heures de jeu, pour la première fois, j'ai eu envie d'y jouer : que pouvait-il bien se passer de si important au début de Just Cause 4, nouvel épisode d'une série dont le scénario entier tiendrait sur un demi-timbre-poste ?

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