Je comprends David Pujadas. Je comprends qu'en voyant un avion s'écraser sur une tour, le 11 septembre 2001, au lieu de dire « Mon Dieu, c'est horrible », il se soit écrié « Waouh, génial ! ». Je le comprends parce que je suis comme lui. Après avoir diffusé une scène terrible au lieu de passer la pub, j'ai fait la même chose : j'ai soufflé un grand coup, et je me suis dit : « Quel extraordinaire moment de télévision ! »