| Modifié le le 25 mai 2021
Je me souviendrai toujours du visage radieux de Toto-la-déglingue, notre maquettiste, ce soir de 2013 où je lui ai fait découvrir l'existence de One Finger Death Punch. Après avoir un peu ronchonné « eh mais c'est tout nul ton jeu avec des bonshommes bâtons là », celui qui faisait encore la joie et la fortune de tous les importateurs d'herbes aromatiques de Seine-Saint-DenisNote : 1 a fini par accepter d'essayer. Il y a passé des heures. Normal. One Finger Death Punch était un excellent jeu.
Note 1 : Depuis il s'est rangé, désormais monsieur est propriétaire et lit les pages saumon du Figaro.