| Modifié le le 25 mai 2021
« Ce qui ne me tue pas me rend plus fort », écrivait Nietzsche dans Le Crépuscule des idoles (1888), donnant naissance sans le savoir à des générations de jeunes gens insupportables qui allaient répéter cette phrase en boucle et la graver sur les pupitres de leur classe de terminale L avant d'aller mal jouer de la guitare devant les grilles du lycée. Cette anecdote a son importance, car elle nous permet de ne pas confondre Nietzsche et Scourgebringer : en effet, dans Scourgebringer, c'est en mourant qu'on devient plus fort.