Hier soir, je prenais le train en direction de Sannomiya, le centre-ville de Kobe, où je réside. Dans le wagon, assis sur des banquettes ou debout, des adolescents, des salarymen et des types plus âgés. Une bonne moitié de cette faune masculine était plongée dans leurs smartphones, complètement absorbés, dévitalisés, par un jeu mobile.