| Modifié le le 16 mai 2023
Le jour où j’ai lancé Streets of Rage 4, je n’avais aucune nostalgie à l’égard de la franchise (sans doute parce que j’avais entre deux et cinq ans lors de son âge d'or et que j’étais trop occupée à faire de la pâte à sel) et je n’étais pas spécialement d’humeur à me faire traîner dans la boue. C’est pourtant exactement ce qui m’est arrivé : pendant plusieurs heures, je me suis fait avilir par des policiers musculeux, des dominatrices à fouet et des motardes agiles sur fond de drum’n’bass et de dance des années 1980. Et puis j’ai appris à leur retourner le compliment.