
The Pillars of the Earth | Nef sur dix
Il y a quelques années, lors d’un événement presse, le patron de Daedalic avait annoncé tout fiérot que le studio allemand avait racheté les droits d’un roman culte, vendu à 15 millions d’exemplaires, et allait se lancer dans son adaptation en jeu vidéo. Ce roman, c’était Les Piliers de la terre, de Ken Follett, et votre serviteuse toute penaude d’avoir vu tant de journalistes extatiques quand elle n’avait pas la moindre idée de ce dont il retournait s’acheta le livre la semaine suivante, le lut pendant les vacances, et eut ainsi tout le loisir de l’oublier depuis.
The Pillars of the Earth
Jeu: The Pillars of the EarthGenre: point and click and QTE
Developpeur: Daedalic Entertainment (Allemagne)
Editeur: Daedalic Entertainment
Plateformes dispo: PC Windows, Mac, Linux, PS4, Xbox One
Plateforme test: PC Windows
Config: carte graphique dédiée
Telechargement: 14 Go
Drm: Steam
Date de sortie: 15/08/2017
Langues: anglais sous-titré français
Prix: 30 € la saison complète
Recevoir cet article gratuitement
0 personne a chouiné pour avoir accès à cet article
Voir le classementInscrivez-vous pour chouiner et réclamer l’accès à cet article
Article premium réservé aux abonnés
Faites-vous offrir des articles par vos amis abonnés ! Pas d'amis ? Chouinez auprès des abonnés pour obtenir gratuitement accès aux articles !
Pas de compte ?
S'inscrire gratuitementVous pouvez y accéder avec l'abonnement suivant :
Accédez au contenu premium, offrez des articles à vos amis, votez pour rendre gratuits certains articles et plein d'autres choses.

Canard PC
Jeu Vidéo
Déjà abonné ?
Se connecterRecevoir cet article gratuitement
0 utilisateur a voté pour rendre cet article gratuit
Voir le classementConnectez-vous pour pouvoir voter pour cet article
Plus d'articles

Pourquoi je n’arrive pas à quitter Zelda : Tears of the Kingdom - L’histoire sans fin
Je connaissais la sensation de vertige devant un catalogue de jeux qui déborde, ces dizaines de titres achetés en gros, fantasmés, jamais lancés. Je connaissais la sensation d’une aventure qui s’achève, d’une partie relancée, d’un jeu oublié parfois, mais pas encore celle d’un titre qui m’obsède au point de ne jamais vouloir le quitter.
Plus de la même catégorie

Payday 3 - Arnaque, crime et bots catatoniques
Qu’est-ce qui fascine tant les studios dans le always online, cette pratique qui force les joueurs à jouer via Internet même en solo ? Il faut que ça soit une attraction vraiment puissante pour que des boîtes observent le lancement de Sim City 5 et de Diablo 3 et se disent : « Quelle réussite. Je veux ça pour mon jeu. »