| Modifié le le 25 mai 2021
Le drame de ma vie, c'est de ne pas avoir réussi à faire comprendre à Louis-Ferdinand Sébum pourquoi je préfère Terminator 2 à Terminator 1. Lui, il débarque avec ses grandes explications sur l'avant-garde, sur l'horreur, sur le genre, sur l'esthétique, et moi, je ne sais pas quoi lui répondre avec mes grands yeux embués de larmes, puisque je n'ai qu'une seule phrase qui résume tout mon argumentaire : « Mais bordel, c'est un gamin qui a un copain robot, n'as-tu donc aucun cœur, n'as-tu jamais été enfant ? »