| Modifié le le 25 mai 2021
Sous ses dehors bourrus de chroniqueur judiciaire blasé d'avoir trop vu les atrocités dont les humains sont capables, Noël Malware cache un cœur tendre d'enfant émerveillé. Jamais je n'ai croisé quelqu'un d'aussi bon public, un rien suffit à lui plaire, le plus nanaresque des films trouve une place dans son cœur, il a même aimé Joker, c'est vous dire. Aussi, quand il est venu me dire « Ah c'est toi qui testes Watch Dogs: Legion finalement ? Fais attention, c'est vraiment très mal écrit », un frisson d'angoisse m'a traversé l'échine, car l'échine, c'est bien connu, n'est bonne qu'à être traversée par des frissons d'angoisse.