45 résultats pour "lamer quon voit danser"

Clone Drone in the Danger Zone - Sabre au clair

Quand j'ai rencontré Izual, c'était un homme brisé. « Jamais, me dit-il avec des sanglots dans la voix et le nez qui coulait dans sa cannette de bière de clochard, je ne retrouverai les combats au sabre laser de Jedi Knight, qui étaient la plus grande source de joie de mes tendres années. – Erreur jeune Izual, lui dis-je en essuyant sous son nez tout encroûté de morve, car il existe Clone Drone in the Danger Zone, qui va changer ta vie. »

Les Gardiens de la Galaxie - Groot du rock

Parmi tous les super-héros nuls du quotidien inventés par Louis-Ferdinand Sébum, j'ai une tendresse particulière pour Bobby L'appoint, le héros qui apparaît mystérieusement quand il vous manque de la monnaie à la caisse, les Giscardiens de la Galaxie qui sauvent le monde à chaque fois que le centre-droit baisse dans les sondages, et Eidos Montreal, le studio qui émerge du vortex pour réaliser une copie d'un jeu à succès dès qu'une licence est en danger.

Petit retour sur Wish et Joom - On est allé se plaindre - Canard PC Hardware 42

Dans le précédent numéro, nous vous parlions de Wish et Joom, deux plateformes de vente en ligne qui proposent des produits à des prix qui défient toute concurrence... avec une qualité qui défie elle aussi toute concurrence.

La plus belle histoire d'amour du jeu vidéo - Final Fantasy VII et sa narration mécanique

J'ai terminé trois fois Final Fantasy VII. Je l'ai fini une première fois en 1997, quelques semaines après sa sortie sur PlayStation. Je l'ai terminé une deuxième fois, quelques années plus tard, lorsque le titre est arrivé sur PC. La dernière fois, c'était l'année dernière, à l'occasion du portage sur Switch. Après l'avoir parcouru trois fois dans son intégralité, je pensais bien connaître le jeu et pourtant, sans une vidéo publiée sur YouTube il y a trois ans, je serais peut-être passé à côté d'une des plus belles histoires d'amour du jeu vidéo.
(Attention, cet article contient des spoilers.)

Bushido Blade 2 - Comment Ubisoft a développé sans le vouloir une suite que je n'attendais plus

Nous sommes en 1998 et ma douce et courageuse mère (coucou Maman, je t'aime, tu sais) est équipée de bouchons d'oreilles ainsi que de deux seyants oreillers scotchés autour de sa tête, et pour cause : dans ma chambre d'ado ornée de posters à l'effigie de X-Files ou Star Wars, c'est le bordel. Couvrant le bourdonnement satisfait de ma Playstation, modifiée pour lancer des jeux japonais, quatre jeunes hommes en fleurs beuglent comme des imbéciles toutes les trois minutes. Nous découvrons Bushido Blade 2.