Stadia terminal
L'histoire de Stadia — à part pour les comptables de Google —, c'est un peu l'inverse d'un film d'horreur : alors que dans les films le monstre qu'on croyait mort surgit du placard, ici la bête déjà morte, ô surprise, crève une deuxième fois. Stephen Totilo, journaliste pour Axis, nous apprend en effet que la plateforme de cloud gaming de Google qu’on croyait morte ne l’était pas vraiment. Google avait en effet pensé vendre l’infrastructure (qui, il faut le reconnaître, fonctionnait plutôt bien) en marque blanche pour permettre à d’autres entreprises souhaitant fournir des jeux en streaming de l’utiliser. L’idée, pourtant bonne, a fait long feu, et le projet été annulé alors même qu’on apprenait son existence. LFS.