Ce qui fait tout le charme de la vie, mais aussi toute sa relouïtude par moments, c’est qu’on n’est jamais bien sûr de ce qui guette, tapi dans l’ombre. Quand Kahn Lusth, tout penaud de me voir privée d’un jeu que j’attendais, m’a, dans sa grande bonté, proposé Masters of Anima pour me consoler, je m’attendais à une balade tranquillou entourée de minions dans des décors de carte postale. J’avais presque tout faux.