Soucieuse « d'économiser la planète », comme le disent les mauvaises langues qui m'appellent l'ayatollah de l'écologie, les yeux m'en tombent toujours quand je vois une personne de mon entourage vérifier l'orthographe ou le sens d'un mot avec une recherche Google.
Nous ne pouvons plus nous passer de l’outil numérique pour un maximum de tâches, et depuis longtemps, les uns et les autres ont eu tendance à vouloir l'humaniser, histoire de rétablir une balance en termes de temps passé dessus et besoin primitif d'interaction sociale.
Histoire d'appuyer le propos de notre dossier sur la question du RGB, qui consiste à dire que l'élégance, ça peut aussi (et même surtout) se façonner sans loupiotes multicolores, notre config du trimestre est une machine assez haut de gamme qui s'adresse aussi bien au gamer avide de performances qu'à l'amateur de belles choses.
Vous vous en souvenez peut-être, nous avions déjà proposé une configuration à (très) bas prix en avril 2020. Cette config’ valait 300 € et visait vraiment un public à la recherche d’un PC pas cher. Cette fois, nous ciblons l’entrée de gamme pour les joueurs.
Dans la majorité de nos configurations, nous partons avec un point implicite : vous allez installer Windows, ou éventuellement une distribution GNU/Linux. Mais si vous voulez profiter de macOS et fabriquer un hackintosh, il y a quelques sujets importants à prendre en compte.
Pour cette configuration trimestrielle, nous avons décidé de stocker des données. Beaucoup de données. Avec une question idiote : combien de téraoctets peut-on placer dans une tour de PC classique ? Les contraintes sont basiques : rien d'externe, tout en interne, avec du matériel qui peut se trouver en France.