
Olivia Rodrigo - Sour
En ce moment, je passe mon permis de conduire, et comme l’essentiel de mon entourage l’a obtenu il y a plus de dix ans, je ne sais pas trop à qui parler de ce qui me tourmente le plus actuellement (à savoir ma fâcheuse tendance à faire des croisements à l’indonésienne et le sentiment de panique constant qui précède chacun de mes passages de giratoire). Heureusement, j’ai découvert l’album Sour d’Olivia Rodrigo, une enfant-star Disney devenue chanteuse de pop pour adolescents, qui s’épanche sur toutes les préoccupations qu’on peut avoir à l’âge de 18 ans : les ruptures amoureuses qui donnent envie de pleurer sur le sol de sa salle de bains, la difficulté de voir quelqu’un qu’on a sincèrement aimé se porter beaucoup mieux sans nous, mais aussi – et surtout – la frustration d’être incapable de faire des stationnements en créneau. Merci Olivia, la simple idée d’écouter ton morceau « Drivers License » à toute blinde dans ma future voiture en m’égosillant comme un perroquet bourré est un facteur de motivation constant.
Recevoir cet article gratuitement
0 personne a chouiné pour avoir accès à cet article
Voir le classementInscrivez-vous pour chouiner et réclamer l’accès à cet article
Article premium réservé aux abonnés
Faites-vous offrir des articles par vos amis abonnés ! Pas d'amis ? Chouinez auprès des abonnés pour obtenir gratuitement accès aux articles !
Pas de compte ?
S'inscrire gratuitementVous pouvez y accéder avec l'abonnement suivant :
Accédez au contenu premium, offrez des articles à vos amis, votez pour rendre gratuits certains articles et plein d'autres choses.

Canard PC
Jeu Vidéo
Déjà abonné ?
Se connecterRecevoir cet article gratuitement
0 utilisateur a voté pour rendre cet article gratuit
Voir le classementConnectez-vous pour pouvoir voter pour cet article
Plus d'articles

Pourquoi je n’arrive pas à quitter Zelda : Tears of the Kingdom - L’histoire sans fin
Je connaissais la sensation de vertige devant un catalogue de jeux qui déborde, ces dizaines de titres achetés en gros, fantasmés, jamais lancés. Je connaissais la sensation d’une aventure qui s’achève, d’une partie relancée, d’un jeu oublié parfois, mais pas encore celle d’un titre qui m’obsède au point de ne jamais vouloir le quitter.
Plus de la même catégorie

La Currywurst
« Mais quelqu'un de Canard PC n'avait pas déjà fait un PQ sur la Currywurst après une Gamescom il y a des années ? » Si, mais déjà c'était il y a des années, il y a donc prescription, et surtout ce papier était un amas d'informations erronées dont la publication aurait dû à jamais couvrir d'opprobre le nom de son auteur, que je ne citerai pas ici car je ne me souviens plus si c'était Guy Moquette ou moi-même.