
Eastward | GOTY 1994
Et voilà, prenez-en de la graine les jeunes : pendant des mois, je réserve Deathloop et 12 Minutes pour ma pomme. Le moment venu, grand prince, je laisse 12 Minutes à Ellen Replay et Deathloop à ackboo. Tout le monde applaudit mon esprit de sacrifice. Puis, quand l'un rage parce qu'il ne joue pas à Dishonored et que l'autre crache des caillots de sang devant des twists improbables, je ramasse le jeu de l'année. Bon, le jeu de l'année 1994, certes, mais le jeu de l'année quand même. Comme ça, l'air de rien.
Eastward
Genre : aventureDéveloppeur : Pixpil (Chine)
Éditeur : Chucklefish
Plateformes dispo : Windows, Switch, macOS
Plateforme test : Windows
Téléchargement : 1,5 Go
Date de sortie : 16/09/2021
Langue : français
Prix : 25 €
Recevoir cet article gratuitement
0 personne a chouiné pour avoir accès à cet article
Voir le classementInscrivez-vous pour chouiner et réclamer l’accès à cet article
Article premium réservé aux abonnés
Faites-vous offrir des articles par vos amis abonnés ! Pas d'amis ? Chouinez auprès des abonnés pour obtenir gratuitement accès aux articles !
Pas de compte ?
S'inscrire gratuitementVous pouvez y accéder avec l'abonnement suivant :
Accédez au contenu premium, offrez des articles à vos amis, votez pour rendre gratuits certains articles et plein d'autres choses.

Canard PC
Jeu Vidéo
Déjà abonné ?
Se connecterRecevoir cet article gratuitement
0 utilisateur a voté pour rendre cet article gratuit
Voir le classementConnectez-vous pour pouvoir voter pour cet article
Plus d'articles

Pourquoi je n’arrive pas à quitter Zelda : Tears of the Kingdom - L’histoire sans fin
Je connaissais la sensation de vertige devant un catalogue de jeux qui déborde, ces dizaines de titres achetés en gros, fantasmés, jamais lancés. Je connaissais la sensation d’une aventure qui s’achève, d’une partie relancée, d’un jeu oublié parfois, mais pas encore celle d’un titre qui m’obsède au point de ne jamais vouloir le quitter.
Plus de la même catégorie

Payday 3 - Arnaque, crime et bots catatoniques
Qu’est-ce qui fascine tant les studios dans le always online, cette pratique qui force les joueurs à jouer via Internet même en solo ? Il faut que ça soit une attraction vraiment puissante pour que des boîtes observent le lancement de Sim City 5 et de Diablo 3 et se disent : « Quelle réussite. Je veux ça pour mon jeu. »