312 résultats pour "au doigt et loeil eggggg platform puker"

Dans cet épisode de « Bienvenue chez nous », le maréchal Erwin Von Ribbentrop et son château en Bavière recueillent la note de convivialité maximale.
Call of Duty : WWII - J'irai revoir ma Normandie

Adorno se demandait comment écrire après Auschwitz. Perso, je me demande comment on faisait pour écrire avant. Depuis soixante-dix ans, tout, absolument tout, des œuvres les plus savantes à la pop-culture, est fourré au nazi. Qu'on cherche un roman d'aventure, une nouvelle mise en scène d'Euripide ou un comic book, presque impossible d'en trouver un où ne figurent pas les bricolos du Reich. Signe d'un manque d'imagination ? Peut-être. Étant d'un naturel optimiste, je préfère me réjouir qu'Adolf Hitler, peintre qui toute sa vie est resté méjugé par ses contemporains, soit finalement devenu la muse de trois générations d'artistes. C'est toujours chouette quand une histoire finit bien.

Microcivilization - Veni, mini, vici

La sortie du premier épisode de Civilization en 1991 a divisé l'humanité en deux camps : les gens qui désirent conduire leur empire à la victoire en poussant des pions sur une carte (les « tristes sires ») et ceux qui veulent juste passer des heures devant l'écran « ville » à regarder leurs cités ériger de mignons petits bâtiments (les « gens bien »). Avec Microcivilization, brillant mélange de Cookie Clicker et de 4X, ces derniers tiennent enfin leur vengeance.

No one lives under the lighthouse - Phare & Furious

D'après les résultats de la dernière étude de l'Inserm, la santé mentale du Français moyen, à l'aube du troisième confinement, est sensiblement comparable à celle de Guénaël Le Foll, gardien de phare sur un rocher au large des Glénan, qui vit reclus depuis quinze ans et se nourrit exclusivement de graisse de mouette marinée dans le chouchen. Du coup, je vous le demande, quel meilleur moment pour jouer à No one lives under the lighthouse, dans lequel on incarne un gardien de phare au bord de la folie ?

Nelo - Metal Gear Rassis Revengeance

Cela fait maintenant près de deux ans que je suis Nelo avec de petits yeux méfiants mais remplis d'amour. Dans le Canard PC no 337, je le décrivais comme un jeu très enthousiasmant mais trop peu lisible. Piqués au vif, vexés sûrement, les développeurs de Magic and Mirrors m'ont écouté, n'ont pas aimé et se sont vengés. Nelo est aujourd'hui pire qu'il y a deux ans.

Atomic Heart - Il est presque Prey

Pendant cinq ans, Atomic Heart est resté nimbé d’une aura de mystère. Lorsque le jeu s’est dévoilé par bribes, il a laissé apercevoir une sorte de BioShock soviétique. Sauf que la fois d’après, on pensait plutôt à un Stalker linéaire. Et puis à un Half-Life ouvert. Bref, on était largués. Jusqu’à ce que mi-janvier, un mois avant la sortie officielle, le studio Mundfish nous invite à jouer plusieurs heures à Atomic Heart pour en avoir le cœur atomique net une bonne fois pour toutes.

Carthanc
Dread X Collection - Légion d'horreurs

The Twilight Zone, The Outer Limits, Masters of Horror... J'adore les anthologies d'horreur. Parce que j'aime le fantastique, mais surtout parce que je n'ai aucune mémoire des visages ni des histoires. Dès que je regarde une série normale où les personnages ne sont pas régulièrement tués et remplacés, je mélange tout au bout de trois épisodes et je ne comprends plus pourquoi Walter White est croque-mort au pénitencier de Litchfield.

Deep Sky Derelicts - À la pointe de l'épave

Il y a quelques jours, en lisant la revue Futurologie & Bullshit, je suis tombé sur un passionnant article écrit par le dealer d'Idriss Aberkane. Il y expliquait que d'ici cinq ans plus personne n'aurait de travail, qu'on aurait tous été remplacés par des robots, que les programmes informatiques s'écriraient tout seuls et que seules les professions créatives pouvaient encore espérer échapper à l'automatisation générale. Eh bien, après avoir joué à Deep Sky Derelicts, je peux vous l'affirmer : tout ça, c'est du pipeau. On aura toujours besoin de techniciens et d'ingénieurs pour produire du code. Mais les concepteurs de jeux, par contre, pourraient parfaitement être remplacés par des algorithmes.

Les casques de réalité virtuelle - Canard PC Hardware 38

La vague de hype autour de la réalité virtuelle – pour être dans le vent, il faut dire VR – s'estompe peu à peu, après quatre à cinq ans d'effervescence. Comme il y a une vingtaine d'années, le public se rend enfin compte que la technologie souffre de trop de défauts pour devenir incontournable. Étant donné le côté cyclique des concepts de ce genre (pensez à la 3D au cinéma), la VR devrait refaire une apparition d'ici 2030 à 2035, au moment de l'action fictive du blockbuster Ready Player One. En attendant, voici une sélection des différents casques "à succès" sortis au fil des années.

City of Brass - Djinn brut

Des pièges. Des saloperies de pièges, partout. Des trappes qui s'ouvrent sous mes pieds, des tourelles qui me tirent dessus, des bouches à feu qui me mitraillent, des pics qui sortent du sol, des poteaux tournoyants couverts de lames de rasoir, des ronces dans lesquelles je m'empêtre... Impossible de faire un pas dans cette foutue ville sans finir réduit en charpie par l'invention d'un artificier fou. S'il y a bien une chose que les jeux vidéo nous ont apprise depuis Prince of Persia, c'est que l'Orient, non content d'être compliqué, est farci de pièges mortels.

Unrecord - Caméra, action

« Les graphismes, ça n'a plus vraiment d'importance », qu'on se disait. « Le photoréalisme, c'est ringard, on veut surtout une vraie patte artistique », déclarait-on à qui voulait l'entendre. Éhonté mensonge. Car lorsque la nouvelle bande-annonce d'Unrecord a commencé à circuler, nous avons tous poussé des petits cris aigus en agitant les mains.

Les casques de réalité virtuelle - Canard PC Hardware 38

La seconde partie du dossier, de 2011 à 2045.

En plus d'afficher vos objectifs cachés et de servir de pointeur, l'écran de votre téléphone portable contient aussi tout le dossier de l'affaire, consultable à tout moment pour vous rafraîchir la mémoire.
Hidden Agenda - Petits meurtres entre amis

Un tueur en série terrorise une petite ville des États-Unis. À quelques heures de l'exécution d'un suspect qui a avoué tous les meurtres, le Piégeur (c'est son nom car il signe ses crimes en laissant des pièges à souris et en piègeant les corps, la méthode est inventive mais on peut sûrement s'accorder sur le fait que le nom manque de punch. Moi à sa place je me serais nommé l'Artificier : on conserve le côté fourbasse tout en y ajoutant la dimension pyrotechnique inhérente au personnage. Enfin bon chacun son truc, je ne juge personne, mais tout de même comment ne pas être déçu par ce manque de sagacité ?) est de retour. Parviendrez-vous à découvrir son identité et à l'arrêter avant qu'il ne vous assassine à coups de rape à fromage explosive ?