Le 30 septembre dernier, un message surgit soudain dans ma boîte Discord : « Si tu es toujours chaud pour Super Mario, je vais essayer de l'avoir en avance », me lance une certaine Ellen R. Le 7 novembre, soit plus de trois semaines après la sortie du jeu, un autre message s’affiche : « Tu peux tenter ce code et me dire si ça marche ? » J’ai tenté, et ça a fonctionné. Laissé dans l’expectative si longtemps, je m’étais imaginé parcourir ce Super Mario Bros. Wonder. Puis, quand tout le monde l’eut terminé, je continuais d’en tisser une rêverie colorée. Enfin, quand le jeu m’a ouvert ses bras, la fantaisie s’était tarie. C’est probablement tout le paradoxe de cet opus : qu’on y ait joué ou non, ça ne change pas grand-chose ; l’idée qu’on se fait du jeu suffirait presque.