C'est curieux. Les studios de jeux vidéo ont beau compter dans leurs rangs un paquet de crevards affamés qui, la truffe au vent, hument l'air à la recherche d'une odeur de pognon, parés à pondre en six mois un clone de n'importe quel jeu vendu à plus de cent mille exemplaires, les plagiats de Hotline Miami sont restés raresNote : 1.

Note 1 : Oublions s'il vous plaît le miteux Bloodbath Kavkaz, noté « Hein ?! / 10 » par Kahn Lusth dans Canard PC n° 318.