
The Hong Kong Massacre | Who's Woo
C'est curieux. Les studios de jeux vidéo ont beau compter dans leurs rangs un paquet de crevards affamés qui, la truffe au vent, hument l'air à la recherche d'une odeur de pognon, parés à pondre en six mois un clone de n'importe quel jeu vendu à plus de cent mille exemplaires, les plagiats de Hotline Miami sont restés raresNote : 1.
Note 1 : Oublions s'il vous plaît le miteux Bloodbath Kavkaz, noté « Hein ?! / 10 » par Kahn Lusth dans Canard PC n° 318.
The Hong Kong Massacre
Jeu: The Hong Kong MassacreGenre: Hotline Hong Kong
Developpeur: Vreski (Suède)
Editeur: Vreski
Plateformes dispo: PC Windows, PlayStation 4
Plateforme test: PC Windows
Langues: VO en anglais
Config: PC de joueur
Telechargement: 2 Go
Prix: 17 €
Drm: Steam
Date de sortie: 22/01/2019
Recevoir cet article gratuitement
0 personne a chouiné pour avoir accès à cet article
Voir le classementInscrivez-vous pour chouiner et réclamer l’accès à cet article
Article premium réservé aux abonnés
Faites-vous offrir des articles par vos amis abonnés ! Pas d'amis ? Chouinez auprès des abonnés pour obtenir gratuitement accès aux articles !
Pas de compte ?
S'inscrire gratuitementVous pouvez y accéder avec l'abonnement suivant :
Accédez au contenu premium, offrez des articles à vos amis, votez pour rendre gratuits certains articles et plein d'autres choses.

Canard PC
Jeu Vidéo
Déjà abonné ?
Se connecterRecevoir cet article gratuitement
0 utilisateur a voté pour rendre cet article gratuit
Voir le classementConnectez-vous pour pouvoir voter pour cet article
Plus d'articles

Laysara : Summit Kingdom - La pente est raide, les routes sont droites
Le marché du city-builder est un peu surchargé ces temps-ci, mais quelques développeurs arrivent tout de même à imaginer des concepts un peu originaux. Laysara nous épargne enfin l'ambiance médiévale ou post-apo' pour nous emmener là-haut dans les montagnes, sur des pentes abruptes où les yaks paissent entre deux avalanches.

Les descendants de Donjons et Dragons - L’important, c’est la prose
Vous l’appelez D&D, « Donj », « le seul jeu dont j’ai besoin » ou « Roh pfff, pas encore ce truc ». Vous l'adorez, vous le détestez, vous le considérez comme un jeu essentiel ou êtes passé à autre chose, mais une chose est sûre : Donjons et Dragons, vous connaissez. Du coup, on ne va pas en parler.
Plus de la même catégorie

Warhammer 40,000: Boltgun - Concerto pour Warp
Je n'avais jamais accroché à Warhammer 40,000. Dès que je tombais sur un ultramarine, je me disais que tant qu'à voir de gros types décérébrés qui jouent aux croisés, autant zoner dans le Vieux Lyon après 22h, au moins l'architecture est jolie. Eh bien figurez vous que, de la même façon qu'on enroule un médicament dans un bout de jambon pour le faire avaler à un chat, il suffisait, pour me faire aimer WH40K, de le cacher dans un fast-FPS.

Decarnation - Le plus grand cabaret immonde
J’ai tendance à me méfier des jeux qui revendiquent des influences trop prestigieuses, au risque de ne jamais vraiment sortir de leur ombre. Decarnation a tout de suite cherché à me prendre par les sentiments en convoquant pêle-mêle la filmographie de David Lynch, Perfect Blue et Silent Hill, comme si quelqu’un avait sondé mon cerveau pour en extirper certaines de mes œuvres préférées avant de me hurler « AIME-MOI !!! » à la figure.