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Marine Malice - L’héroïne la plus branchie

Je suis une héroïne de jeu vidéo des années 1990, qui suis-je ? Premier indice : je suis une aventurière. Deuxième indice : je résous des énigmes et trouve des trésors. Toujours pas ? Troisième indice : je sais nager sous l’eau. Comment ça, Lara Croft ?

Gorasul : The Legacy of the Dragon (2001)
Les nanars du jeu de rôle - Une contre-histoire du RPG

Raconter l'histoire du jeu de rôle sur ordinateur, d'ordinaire, c'est faire une liste : celle des grands jeux qui ont marqué leur nom au fer rouge sur nos PC. On se contente d’égrener des titres comme Ultima, Fallout, Baldur's Gate, Morrowind, Mass Effect, Wasteland 2, The Witcher III et puis c'est rideau, merci et bien le bonsoir. Le problème, c'est que dans la légion des jeux tus par cette liste, dans la cohorte des non-dits, il y a toute une facette de l'histoire des jeux de rôle qui mérite largement d'être racontée. Se pencher sur les mauvais jeux sympathiques – les nanars – permet de dresser un portrait plutôt fidèle d'un genre qui a été façonné par les échecs, les grandes tendances suivies aveuglément, les pâles copies et le mauvais goût. Alors pour vous, on a plongé dans la fange. Des vieilleries obsolètes qui déglinguent les yeux aux camelotes modernes qui partent en vrille, on ne s'est rien épargnés. Tout ça, bien sûr, dans l'unique but d'obtenir une vision plus juste du jeu de rôle. Pas du tout de se moquer des jeux moches. Pas du tout.

Une série HBO de vingt-quatre épisodes seulement, et je le regrette chaque jour que Dieu fait.
La Caravane de l'étrange

Cyclades - Mon panthéon est décousu

J’ai beaucoup pensé à Cyclades en jouant aux Princes de Florence. Même si le jeu de Bruno Cathala et Ludovic Maublanc est plus récent (2009), ils partagent une caractéristique propre à la grande époque des jeux d’enchères. Les achats n’y comptent pas directement pour des points, mais sont des prémices mettant en branle d’autres mécaniques.

Les visages de Smoke and Sacrifice ont beau être d'une grande beauté, ils me rappellent quand même un peu ceux d'Angela Anaconda, le dessin animé sorti du fond des abîmes infernaux qui a traumatisé une génération d'enfants.
Smoke and Sacrifice - Bébé brume

Je suis vraiment farci de préjugés. Quand on s'est réparti les présentations pendant la conférence de rédaction, et que Moquette m'a proposé d'aller voir Smoke and Sacrifice à sa place, ma première pensée a été : « Pfff... je suis sûr que ça va encore être un jeu vidéo. » En voyant des images, je me suis dit : « Et voilà, ça va encore être un de ces machins avec des personnages animés façon paperdoll. » Puis, quand je suis tombé sur les premières vidéos, mon sang n'a fait qu'un tour : « Tu vas voir que ça va être un clone de Don't Starve. » Mais voilà, après avoir rencontré les développeurs et passé une heure sur leur jeu, je dois me rendre à l'évidence : si Smoke and Sacrifice est bien un jeu vidéo, il n'a pas grand-chose en commun avec celui de Klei Entertainment.

Astuce : le jeu est saturé de couleurs criardes et d'éclairages violents, ce qui en fait un excellent outil pour trouver les pixels morts sur votre moniteur.
Genesis Alpha One - Ma petite Enterprise

Il fallait que ça arrive : à force de ne pas trier nos déchets et de laisser l'eau du robinet couler pendant qu'on se lave les dents, la Terre est devenue inhabitable. Quelques mégacorporations (dont probablement Google, Amazon et Canard PC) financent alors des expéditions spatiales de clones génétiquement modifiés pour nous trouver une nouvelle planète à ravager. Oh surprise, vous venez d'être promu capitaine de l'une d'entre elles ! Allez, au turbin.

Le tour du gadget

Le constat est sans appel : le quotidien manque outrageusement de caméras de surveillance, de drones, de mouchards, de traçage, de reconnaissance faciale, d'assistants personnels, de censure, de matraques, de LBD et surtout de Gatling à visée automatique anti-zombies.

Le paradis perdu du battle royale - Rencontre avec les pionniers du genre qui refusent encore de migrer vers PUBG

Tous les soirs, ils sont encore quelques dizaines à se parachuter au-dessus des plaines ensoleillées d’Altis, des forêts denses de Chernarus ou des eaux turquoise de l’atoll Wake. Voilà six ans qu’ils s’éclatent sur le mod Battle Royale d’Arma 3, celui qui a lancé la tendance la plus juteuse de la décennie. Un mod précurseur, génial, bancal et surtout tombé dans un oubli quasi complet, au grand dam de ses vétérans convaincus qu’il n’a rien à envier à PUBG ou Apex Legends. À raison.

Sea of Stars - Un jeu doux à mer

Salut c’est Noël Malware, j’adore les JRPG. Ils me rappellent mon enfance, quand je passais mes après-midis à jouer à Secret of Mana dans le grenier. C’était l’âge de l’insouciance. Ça allait durer l’éternité. Et puis la vie a planté ses griffes en moi. J’ai grandi. Je ne peux plus remonter dans le grenier.