Hacker et à cris
Un truc que j’adore dans les séries, c’est ce moment où un mec du FBI demande à un passant « eh mec, tu voudrais pas acheter une bombe ? », qu’il répond « chais pas, ouais pourquoi pas » et que là paf, les flics sortent de partout, l’arrêtent et l’envoient à l’ombre pour le restant de ses jours. Eh bien, c’est à ce même genre d’astuce, dont on se demande comment il peut être légal dans un état de droit, que Valve a récemment reconnu avoir recours. Dota 2 stocke en effet une petite quantité de données inutiles dans un endroit de la mémoire que le jeu ne lit jamais. Pourquoi, me demanderez-vous ? Tout simplement pour que, dans le cas où cette partie de la mémoire serait lue, le jeu puisse immédiatement en conclure que l’utilisateur a recours à un programme de triche et qu’il convient donc de bannir le malandrin. LFS.