Hardware

Parlons d'Apple. La transition vers l'architecture ARM a été annoncée en juin 2020, mais les rumeurs sur cette dernière circulent depuis des années, au moins depuis qu'Apple propose ses propres CPU.

La star fait encore un caprice, et un projo s’est écroulé. Le producteur hurle : « On va y arriver, je vais rogner sur les coûts. » Bon, vous savez quoi ? Je vais partir de la rédaction de Canard PC et rentrer chez moi pour tester Ça tourne ! plus tranquillement.

Oui, je sais, en plein mois de mars ce n’est plus tellement la saison des bilans. Mais j’avais inauguré l’année dernière le principe d’une chronique qui passait en revue mes principales erreurs de l’année précédente et j’y tiens, même si les sagouins de Presstalis ont occupé ces pages en début d’année.

Sous les projos : Mount & Blade II : Bannerlord. L’ambitieux jeu de rôle médiéval, connu pour son immersion et l’exigence de ses batailles, est enfin disponible officiellement en français. L’occasion de faire un point sur ce projet qui va arriver dans sa troisième année d’accès anticipé.

Une guerre thermonucléaire globale est sûrement l'événement le plus fun qui puisse arriver à l'humanité. Imaginez ces festives traînées de missiles zébrant le ciel ! Ces joyeuses explosions aux couleurs bigarrées anéantissant des villes entières ! Et puis après… quel calme ! Quelle tranquillité ! Les places libres dans le RER, les centres commerciaux vides le samedi. Un paradis ! Oui, nous avons besoin d'une guerre nucléaire, mais comme nos politiques sont des lâches, c'est encore une fois le jeu vidéo qui servira de refuge à nos fantasmes.

Après des années à nous avoir fait mariner, Bethesda a enfin daigné dévoiler Starfield à l'Humanité haletante. Quinze minutes de gameplay qui n'ont pourtant pas très bien commencé.

Dans Blue Screen of Death, Alt236 explore nos représentations avec la passion d'un archéologue des mondes virtuels. Le jeu vidéo est un continent vierge où se jouent des aventures nouvelles et parfois étranges. Quels liens ces visions entretiennent-elles avec notre inconscient ? Pourquoi nous fascinent-elles autant ? Qu'est-ce qui fait qu'une image plutôt qu'une autre va luire dans la nuit de toute son inquiétante étrangeté ?

Wimereux, près de Calais, un samedi soir. Un entrepôt est allumé. Malgré la pluie et l’heure tardive, une armée de mains s’affaire, s’affole et colle des étiquettes. Le ballet est millimétré. Pas de temps à perdre, douze mille boîtes attendent. Synchronisé comme le reste, un mantra sort de toutes les bouches : « Mais quel énorme connard ce Perco ! »

Nous ne connaîtrons probablement jamais la guerre comme nos glorieux anciens ont eu la chance de la savourer. Sentir l'odeur des cadavres, admirer des paysages ravagés, obéir à un sergent alcoolique, mourir dans ses propres excréments après avoir subi un barrage d'artillerie, notre génération sacrifiée en a été privée. C'est injuste, mais c'est comme ça. Heureusement qu'il existe des jeux comme Hell Let Loose pour se forger un peu le caractère.

Récemment remis sur le devant de la scène à la sortie de la PlayStation 5, et après l’arrivée du Dolby Atmos en salle, le son 3D est une douce utopie dont on entend parler à ­intervalles réguliers dans l’univers de l’audiovisuel.

« Appuyez sur une touche pour continuer », me dit l’écran d’accueil de State of Decay 2. J’appuie sur espace. Rien. J’appuie sur entrée. Rien. Je décide alors d’appuyer sur ftdgcrqzda, $*^pezr puis é’(qzrl(’r- en bourrant mon clavier de coups de poings. Ça charge enfin. Ah non, ça freeze. « Échec de la connexion. Vous devez choisir un profil pour pouvoir jouer. » Content d’avoir quand même obtenu une réponse, je clique alors sur « ok » et là, le jeu recommence à me demander d’« appuyer sur une touche pour continuer ». Oh, toi, t’es en train de me chercher grave.

Gâché par des problèmes de performances aberrants, une interface pataude et des tas de petits défauts bien énervants, le premier Transport Fever m'a laissé un goût amer dans la bouche. Ça sentait le premier jet, le brouillon qui ne demandait qu'à être amélioré. Justement, trois ans plus tard, les développeurs reviennent avec un second épisode sur lequel j'ai enfin réussi à m'amuser.

Voilà, vous avez essayé Flight Simulator. C'est sympa de voler au-dessus de sa maison en DR-400. De tourner autour du Mont Saint-Michel en bimoteur. De faire un petit vol de brousse au-dessus des splendides paysages africains. Mais soyons francs : cela finit par lasser. La vraie, la belle, la grande expérience Flight Simulator, c'est l'aviation de ligne.

Encore un deckbuilding. Encore une licence. Encore du Star Wars. Encore un clone de jeux existants. Encore un jeu de Caleb Grace. Hein ? Attendez, le mec qui fait des jeux addictifs comme des pipes à crack ?

Invoqué par de viles âmes rongées par la corruption et le péché, Adyr le démon est de retour pour ravager les terres de Mournstead. Pour refouler cette fange diabolique, faire bouffer aux dévots du Malin leur exemplaire dédicacé du Temps des tempêtes, un héros se dresse. Sa Sainteté Jean-Paul II, descendu du carré or du paradis dans une papacalèche tractée par cent poneys Shetland ailés. Rencontre.

On est tous d’accord : pendant sa présentation à l’E3, le mélange de Final Fantasy et de Dark Souls ne donnait pas franchement envie. Bonne nouvelle, manette en main, c’est beaucoup mieux. C’est compliqué, mais c’est beaucoup mieux. Mais c’est compliqué.

Dans Green Hell, j'ai vomi après avoir bu l'eau croupie d'une mare dégueulasse. Je me suis fait pomper par des sangsues. J'ai bouffé des larves crues. J'ai chopé des vers intestinaux. Et les rares moments où je n'étais pas effondré sous ma hutte en plein délire psychotique, des sauvages fous ont tenté de m'assassiner. Non franchement, de belles vacances.

MSI, comme d'autres marques spécialisées dans les composants, propose des SSD. Nous avons donc testé le Spatium M480, un modèle PCI-Express 4.0.

Composant essentiel de votre configuration, le boîtier d’un PC se doit de remplir un cahier des charges strict.