212 résultats pour "tour du pc and co"

Zowie XL2740 (BenQ)
Le tour du PC and Co

Titan V (Nvidia)
Le tour du PC and Co

Blackwidow Ultimate 2017 (Razer)
Le tour du PC and Co

HTC Bundle (HTC)
Le tour du PC and Co

Surface Book 2 (Microsoft)
Le tour du PC and Co

mCable Gaming Edition (Marseille Networks)
Le tour du PC and Co

Mi Notebook Pro (Xiaomi)
Le tour du PC and Co

Chimera G703 (Asus)
Le tour du PC and Co

ST1100-TI, ST1300-TI, ST1500-TI (Silverstone)
Le tour du PC and Co

Kingdoms and Castles - Mon royaume pour la suite

Kingdoms and Castles est le succès surprise de l'été. Ce joli jeu de gestion vendu même pas 10 euros, tout mignon et tout coloré, a explosé les 100 000 ventes quelques semaines après sa sortie. Forcément, on se pose la question : est-ce vraiment mérité ?

Haven - L'amour dans l'âme

« Ça dégouline d'amour,

C'est beau mais c'est insupportable.

C'est un pudding bien lourd,

De mots doux à chaque phrase. »

Je ne m'y attendais pas, mais on dirait que Anaïs a joué à Haven avant tout le monde.

Gorasul : The Legacy of the Dragon (2001)
Les nanars du jeu de rôle - Une contre-histoire du RPG

Raconter l'histoire du jeu de rôle sur ordinateur, d'ordinaire, c'est faire une liste : celle des grands jeux qui ont marqué leur nom au fer rouge sur nos PC. On se contente d’égrener des titres comme Ultima, Fallout, Baldur's Gate, Morrowind, Mass Effect, Wasteland 2, The Witcher III et puis c'est rideau, merci et bien le bonsoir. Le problème, c'est que dans la légion des jeux tus par cette liste, dans la cohorte des non-dits, il y a toute une facette de l'histoire des jeux de rôle qui mérite largement d'être racontée. Se pencher sur les mauvais jeux sympathiques – les nanars – permet de dresser un portrait plutôt fidèle d'un genre qui a été façonné par les échecs, les grandes tendances suivies aveuglément, les pâles copies et le mauvais goût. Alors pour vous, on a plongé dans la fange. Des vieilleries obsolètes qui déglinguent les yeux aux camelotes modernes qui partent en vrille, on ne s'est rien épargnés. Tout ça, bien sûr, dans l'unique but d'obtenir une vision plus juste du jeu de rôle. Pas du tout de se moquer des jeux moches. Pas du tout.

IndieGO! (ARES Computer)
Le tour du gadget

Alec Holowka, figure du jeu vidéo indépendant, s’est suicidé après avoir été accusé de multiples comportements abusifs. (Crédits photo : Trish Tunney, CC-BY-2.0)
Agressions sexuelles et harcèlement : nouveaux scandales dans l’industrie - Dans les studios, la parole a encore du mal à se libérer

À la fin du mois d'août, une nouvelle série de témoignages de harcèlement et d'agressions sexuelles a jeté une lumière crue sur le climat sexiste largement répandu dans l'industrie du jeu vidéo. De plus, des hordes de joueurs particulièrement virulents ont enseveli les victimes sous les menaces de mort et les insultes. De toute évidence, les mouvements #MeToo et #BalanceTonPorc ont échoué à faire bouger les lignes dans ce secteur où les femmes demeurent ultra minoritaires.

Les visages de Smoke and Sacrifice ont beau être d'une grande beauté, ils me rappellent quand même un peu ceux d'Angela Anaconda, le dessin animé sorti du fond des abîmes infernaux qui a traumatisé une génération d'enfants.
Smoke and Sacrifice - Bébé brume

Je suis vraiment farci de préjugés. Quand on s'est réparti les présentations pendant la conférence de rédaction, et que Moquette m'a proposé d'aller voir Smoke and Sacrifice à sa place, ma première pensée a été : « Pfff... je suis sûr que ça va encore être un jeu vidéo. » En voyant des images, je me suis dit : « Et voilà, ça va encore être un de ces machins avec des personnages animés façon paperdoll. » Puis, quand je suis tombé sur les premières vidéos, mon sang n'a fait qu'un tour : « Tu vas voir que ça va être un clone de Don't Starve. » Mais voilà, après avoir rencontré les développeurs et passé une heure sur leur jeu, je dois me rendre à l'évidence : si Smoke and Sacrifice est bien un jeu vidéo, il n'a pas grand-chose en commun avec celui de Klei Entertainment.

Interview : Jehanne Rousseau - « Le jeu vidéo n'est pas un domaine où il y a du star system, et tant mieux. »

En tant que co-fondatrice du studio français Spiders (Mars : War Logs, Greedfall ou Steelrising, entre autres) et co-créatrice de La Bourse JV, qui permet chaque année à une dizaine d'étudiants de s'offrir des études dans le jeu vidéo, on pourrait penser que Jehanne Rousseau est l'une de ces figures françaises de l'industrie, un nom à mettre à côté de ceux de Frédérick Raynal, Éric Chahi ou Paul Cuisset. Mais le plus important, à mesure qu'elle répond aux questions, semble être le « co ». À l'entendre, dans le jeu vidéo, il n'y a pas de grands noms, pas de stars : seulement des équipes d'individus qui travaillent ensemble en se nourrissant des apports des uns et des autres.

Les recettes traditionnelles, au bon goût d'autrefois

« C'est au pied des vieux pots qu'on reconnaît les sept ans de malheur des meilleures soupes », disait ma grand-mère, que les médecins gavaient de psychotropes du matin au soir depuis le jour où elle avait tenté de dévorer vivant son propre chat. Je n'ai jamais compris ce que cela voulait dire, mais cela a sans doute un lien avec tous ces jeux qui, de manière plus ou moins assumée, marchent dans les traces de leurs illustres prédécesseurs. Mettez-vous à l'aise, on est ici dans la section « charentaises » des jeux de gestion à venir.

Tower of Time - Au temps pour eux

Ce n’est pas franchement la destination à privilégier pour des vacances. Les occupants de cette terre vivent dans un éternel crépuscule, privés à la fois de la lumière du soleil et de la connaissance de leur histoire, toutes deux englouties dans un cataclysme dont les origines demeurent inconnues. Une terre sans passé et au futur incertain. Une terre qui se nomme… Noisy-le-Sec. Non, je déconne, son petit nom, c’est Artara.

North and South - Allô la Lune ? Ici Custer.

Ce qui est drôle avec North and South, c'est que tout le monde s'accorde à dire aujourd'hui qu'il s'agit d'un grand jeu. Pourtant, en 1989, personne ne semblait y croire, si bien qu'un petit jeune, fraîchement employé pour écrire du code sur Hostages: Rescue Mission, n'a eu aucun mal à récupérer la charge du projet, au seul motif d'avoir quelques idées.

L'auteur tient à remercier Stéphane Baudet, designer de North and South, d'avoir aimablement accepté de répondre à ses questions sans jamais s'énerver.

Le jeu vidéo sur PC dans les années 1990

STR, MMO, FPS, RPG : si tous ces sigles, aujourd'hui communs, ne sont pas forcément nés dans les années 1990, c'est pendant cette décennie que le jeu vidéo, à travers quelques titres devenus des classiques, a su créer des codes qui, près de trente ans plus tard, guident encore les développeurs. Après plus d'une décennie de tâtonnements, les acteurs, autant que la technologie, étaient prêts à conquérir le monde.