Pour un usage bureautique (en gros, qui exclut les jeux), la récente Logitech Lift est un excellent choix. Cette souris verticale, ergonomique, confortable et existant pour les gauchers (ce qui est rare) est idéale pour surfer et travailler. Sans-fil et utilisable soit en Bluetooth, soit via un dongle Bolt, elle s'alimente avec une pile AA (un défaut pour certains, un avantage pour d'autres). Elle existe en différentes couleurs et se trouve assez facilement pour 15 € de moins que le prix public.
Même pour jouer, il existe des souris qui ne valent pas trop cher, comme la Pulsefire Core. Elle va évidemment à l'essentiel pour ce prix : deux boutons latéraux (elle n'est pas ambidextre), un capteur 6 200 ppp (suffisant pour jouer en dehors des compétitions), un format assez compact et évidemment une liaison filaire, en USB. Elle n'a pas de gros défauts compte tenu du prix et possède même les loupiottes obligatoires pour avoir le nom g4m3r (c'est la loi), avec un logo rétroéclairé.
Héritière de la G502 Hero qui a longtemps été notre favorite, la G502 X évolue par petites touches : capteur Hero 25K, interrupteurs hybrides, bouton sniper optionnel. Assez bizarrement, Logitech a abandonné le RGB sur le modèle filaire, présent uniquement sur la version Plus (sans-fil) vendue 170 € (oui, vous pouvez toussoter). Son seul défaut : son poids, bien que réduit par rapport à la Hero, reste relativement élevé pour une souris de joueur (89 g).
Dans l'ombre de l'excellente G Pro X Superlight 2 testée dans ce numéro, la G Pro "tout court" est une souris plus modeste, un peu plus lourde évidemment (80 g contre 61), mais aussi nettement plus abordable. Elle embarque le même très bon capteur Hero 25K que la G502 X, et bénéficie du protocole de connexion propriétaire à basse latence "Lightspeed" de Logitech. Attention : malgré son design symétrique (très confortable au demeurant), elle n'est pas ambidextre, puisque les boutons de pouce sont placés à gauche.