On a toujours un pénible dans notre entourage. Celui qui, mois après mois, insiste sans relâche pour que l’on essaie son jeu. Celui qui, affirme-t-il, va révolutionner notre regard sur les cartes, le gameplay, voire les jeux de société et la politique internationale. Dans mon cas, il s’appelle Romain. Jusqu’à maintenant, j’avais réussi à résister à ses appels du pied incessants. Et puis quand Kahn Lusth s’y est mis, en me demandant un papier sur ce même jeu, je n’ai pas eu le choix, j’ai dû plonger. Et vous savez quoi ? J’ai peut-être eu tort de m’entêter.