269 résultats pour "coupe decale"

Le Festival des jeux de Cannes 2022 - Go et mille autres

« À Cannes, il y a deux événements : le Festival de Cannes, et le truc sur le cinéma. » C'est une blague de joueur, mais, avec 3,5 millions d’euros de retombées économiques (puisqu’il faut loger et nourrir les hordes assoiffées de jeux), le Festival international des jeux de Cannes est un rendez-vous annuel qu'il convient de prendre au sérieux.

Comment ça marche, le moteur de Doom ? - Les entrailles de l'Enfer

Mais au fait, comment ça marche, Doom ? Si vous vous êtes un jour posé cette question, rassurez-vous, vous n'êtes pas le seul. La plupart des joueurs et des développeurs, tombés sur le cul un matin de décembre 1993, sont passés par là. Eh bien grimpez dans le camion, chauffe Marcel, aujourd'hui on vous explique comment fonctionne le moteur id Tech 1 qui, avec même pas 40 000 lignes de code C, a révolutionné le jeu vidéo.

Atmos, Porthos et Binauraramis, les 3D mousquetaires - Canard PC Hardware 52

Récemment remis sur le devant de la scène à la sortie de la PlayStation 5, et après l’arrivée du Dolby Atmos en salle, le son 3D est une douce utopie dont on entend parler à ­intervalles réguliers dans l’univers de l’audiovisuel.

Le TI-99/4A (1981).
Itinéraire d'un enfant 3D - Interview : Alexandre Hadjadj

Dans les années 1980, Alexandre Hadjadj écrivait des petits programmes en BASIC dans sa chambre du 14e arrondissement de Paris. Trente ans plus tard, ce très discret codeur français, qui n'avait jusque-là jamais accordé la moindre interview, occupe l'un des postes les plus prestigieux de l'industrie du jeu vidéo. En tant que technical director chez Rockstar, il chapeaute toute la partie graphique des jeux du studio. Vous vous êtes extasié devant la clarté des décors ou la pureté de l'antialiasing de Grand Theft Auto V ? Vous avez bavé devant les effets de lumière ou l'incroyable distance de vue de Red Dead Redemption 2 ? Alexandre Hadjadj et son équipe d'une trentaine de programmeurs spécialisés, repartie entre l'Écosse et les États-Unis, en sont les responsables. Nous nous sommes vautrés ensemble dans un canapé autour d'une assiette de cookies, et nous avons parlé avec lui de son métier, des moteurs 3D, des consoles, et de son chaotique parcours professionnel dans les méandres de l'industrie du jeu vidéo.

Les niveaux sont très variés, avec des séquences d'infiltration et même une scène à moto assez fidèle aux histoires de périph' que nous raconte Kahn Lusth.
Katana Zero - Sabre au clair

Mes amis, je suis au regret de vous l'apprendre : votre vie entière est un mensonge. Ça a commencé très tôt, quand vous étiez bébé, quand on vous a offert ces jouets où il fallait insérer ronds et carrés dans les trous de la même forme. Ça a continué à l'école, surtout en cours de maths, où on vous a entraîné, année après année, à utiliser votre imagination et votre sens logique pour chercher à résoudre des problèmes de plus en plus complexes. On connaît la chanson : quand ça ne marche pas, il faut essayer autrement ! BALIVERNES ! Quand ça ne marche pas, il faut continuer à faire la même chose, forcer comme un bourrin jusqu'à ce que ça rentre, jusqu'à ce que le rond rentre dans le carré, jusqu'à ce que 2 plus 2 soit égal à 3. C'est ce qu'a fait Askiisoft, et le résultat est un chef-d'œuvre.

God of War : Ragnarök - La guerre du 3 n'aura pas lieu

En 2018, Santa Monica réalisait l'exploit de déplacer Kratos, un héros grec, dans le décor de la mythologie nordique, terre sacrée des Scandinaves et des nazis, en lui collant un gosse dans les pattes afin d'humaniser l'aventure sans sacrifier la brutalité légendaire du dieu de la guerre. Quatre ans plus tard, le petit Atreus a mué et le studio s'apprête à clore l'aventure dans une suite à laquelle vous ne comprendrez rien si vous n'avez pas joué au premier, vous voilà prévenu.

Hitman, The Last of Us, God of War : quand les AAA se lancent dans le trafic de rogue

Depuis un peu plus d’un an, les productions de premier plan se servent de mises à jour, de DLC payants et de remakes pour s’injecter une bonne dose de roguelike et retrouver une seconde jeunesse. Le pire, c’est que ça marche plutôt bien.

Sifu - Quand on y pense

Il était journaliste, il faisait du bon travail. Mais il avait commis le crime le plus grave en publiant une preview qui n'avait pas fait marrer le studio de développement. Ce studio avait tenté de l'éliminer mais c'est la femme qu'il aimait qui avait été touchée. Accusé à tort de corruption, il rôdait maintenant du côté de la Seine-et-Marne. Un hors-la-loi poursuivant les hors-la-loi, un chasseur de primes. Un renégat.

Rachat d’Activision par Microsoft : quand l’Europe s’en mêle

Annoncé en janvier 2022, le rachat spectaculaire d’Activision Blizzard par Microsoft pour 68 milliards de dollars (soit un Twitter et demi, quand même) rencontre des difficultés inattendues face aux autorités de régulation antitrust.

Quand Rembrandt donne un coup de main à Deus Ex - Le jeu vidéo pris dans la toile

Domaine où les images sont reines, manipulées par le joueur lui aussi roi, le jeu vidéo a connu une longue maturation avant de pouvoir afficher davantage que quelques lignes tremblantes. Désormais d’une extrême diversité visuelle, il peut laisser exprimer ses liens ténus avec l’art pictural et travailler ses cadres. Pour autant, il n’est pas qu’une répétition et a presque déjà trouvé sa voie.

The Hunt - Trouvé-coulé !

La mer, les flots sans fin. Un jeu de guerre sur l’immensité bleutée, en y intégrant un jeu de cache-cache tendu, la solution semble crever les yeux : un sous-marin ! Eh bien non, les créateurs de The Hunt me refusent ce petit plaisir et n’intègrent que des bateaux !

Cthulhu : Death May Die - Un sacré coup de pied occulte

Je vais être franc : le premier contact avec Death May Die (oui, désolé, mais c'est vachement pénible à écrire, Cthulu... Ctuhluh.... Chtu... Oh et puis Fhtagn.) est un des plus limpides qu'il m'ait été donné de voir. Rédigées sur une quinzaine de pages richement illustrées et jamais avares d'exemples, les règles du jeu se boivent comme du petit lait. De quoi nous mettre dans de bonnes dispositions pour attaquer ce qui est, n'ayons pas peur des mots, un excellent Dungeon Crawler.

Vous vous en doutiez sûrement, mais chaque clan dispose d'une approche différente, certains étant plus axés sur le développement militaire quand d'autres font dans la politique ou l'économie.
Rising Sun - Seppuku de choses, mais ça vaut le coup

Message de service à tous les éditeurs qui font des « gros jeux » comme Rising Sun : Par pitié, arrêtez de sous-dimensionner vos boîtes. C'est usant de mettre cent euros sur la table, d'obtenir un excellent jeu et de finir pourtant sa soirée en colère parce qu'on vient de refermer le couvercle en priant pour ne pas entendre un craquement.

Football Manager - Le mystère du tableau noir

La série Football Manager a beau avoir gagné ses galons à coups de premières places annuelles dans les charts PC, elle reste encore une énigme pour beaucoup. Le foot, soit. L’attrait de la balle qui rebondit, le grand air, les shorts… D’accord. Mais qu’est-ce qui peut bien pousser des gens sains d’esprit à payer pour se taper des tableaux Excel pendant des centaines d’heures ? Voilà qui devrait éclairer votre lanterne.

Not for broadcast - Canard PC l'émission, le jeu vidéo

Dans Not for broadcast, vous incarnez un homme de ménage qui, entre deux coups de balai, se retrouve catapulté régisseur d'une émission. Si ce pitch vous rappelle quelque chose, ne cherchez plus : oui, c'est exactement comme ça que Thomas de O'Gaming a été recruté sur l'émission Canard PC, ce qui explique les quelques couacs à l'antenne du temps où nous étions chez eux (bisous Thomas, tu nous manques).

Cloud Gaming : c’est comment, le jeu vidéo dans le futur ? - Réponse : c’est flou et ça freeze - Canard PC Hardware 45

Le jeu vidéo est un loisir onéreux. Après cette révélation qui vous aura à coup sûr renversé de votre confortable chaise baquet certifiée g4m3r à 300 euros, un rapide tour à la page des Configs du trimestre illustrera parfaitement notre propos.

Legend of Keepers - Métro, bourreau, dodo

Pas que je sois sadique ou revanchard, mais franchement, j’adore la vengeance. Retourner tout d’un coup une situation, se sentir enfin libéré d’un poids et brailler un « ha-HA ! » triomphal, ça n’a pas de prix. Enfin, pas de prix, c’est ce que je pensais jusqu’à ce que la page Steam de Legend of Keepers indique 18 €.

Aeon's End Legacy - Prises de deck sans conséquences

Aeon’s End Legacy : l’effet de ces quelques mots est impressionnant. Legacy est un terme qui a tendance à déclencher des vagues d’endorphines, promesse d’une campagne épique, de décisions cruciales qui impactent les parties futures, de surprises tant sur le plan narratif que sur le plan mécanique. Arrêtez de baver, j’ai juste dit « promesse ». Et le réel n’a pas été d’accord avec la chatoyante anticipation que je m’étais faite de l’expérience.

Un an de chroniques et quelques ratés

Je dois le confesser, la nature de ces chroniques n’est pas très définie. Tantôt points de vue ou coups de gueule, tantôt analyses de l’industrie du jeu vidéo et de ses perspectives, elles sont naturellement susceptibles d’être contestées, ne serait-ce que – parfois cruellement – par la suite des événements. Il y a deux ans, j’ai donc décidé de me livrer une fois par an à une revue (éventuellement critique) des « Au coin du jeu » de l’année écoulée, et c’est au tour de celles de l’année 2018. A priori, j’ai dit moins de bêtises cette année (les mauvaises langues diront que c’est uniquement parce que j’en ai moins publié, suite à notre passage au mensuel…).

Maneater - Les dents de la mère

Vous souvenez-vous du merveilleux Ecco the Dolphin sur Sega Megadrive ? On y incarnait un gentil dauphin défonçant à coups de rostre les méchants requins du récif. Maneater est, quelque part, la suite spirituelle de ce jeu, avec beaucoup plus d’hémoglobine et de membres arrachés.